Diagnostic écologique sur la mise en évidence des sources lumineuses nuisibles à l’étude des chiroptères en milieu hypogé
Diagnostic écologique sur la mise en évidence des sources lumineuses nuisibles à l’étude des chiroptères en milieu hypogé
Douglas Kalifa
23/2/2008
Depuis des années les études chiroptèrologiques ont été restreintes des connaissances sur les conditions d’éclairage, qui ont toujours été utilisés pour les recensements d’espèces en période hivernale.
Ceci étant un projet en cours, sur l’impact du dérangement des lampes à incandescence allogène provoquant des chaleurs à rayons ultra violé à la température ambiante que les chiroptères adaptent pendant leurs phases léthargiques, celles-ci affectionnent entre 2,5°C, cela pour la plus part des espèces Européens sujettes à hiberner en milieu hypogé vespertilionidae rhinolophidae.
Protégées depuis le 1 septembre 1982 depuis la convention de Bern. Cette convention, relative à la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l’Europe, dans le bute de protéger les espèces et leurs habitats.
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IL faut savoir que les rayonnements (UV) sont des rayonnements électromagnétiques d’une longueur d’onde intermédiaire entre celles de la lumière visible et celles des rayons X.
Par ailleurs les lampes type allogène à rayons ultras violé, provoqueraient des montées de température équivalentes à une température au dessus des conditions hivernales que les chauves-souris régulent.
Au cours de mes recherches, j’ai remarqué sur toutes la diversité des espèces que j’ais étudié que toutes les chauves-souris préfèrent pour leur hibernation des milieux cavernicoles, et des zones allant entre 0 et 10°C.
La synthèse durant ces 3 ans de recherche on montré, que la plupart des chiroptères européens ont besoins d’une quantité d’humidité importante, qui symbiose le milieu, la température et sur quel type de sédiment maintiendrait la régulation des tissus physiologiques des membres extérieurs et postérieurs, afin qu’ils ne périssent pas pendant la période de léthargie.
Oreillard roux (Plecotus auritus). |
D’après ce que j’ai remarqué, chez certaines espèces, c’est quelles ne comptent pas totalement sur les emplacements variés qu’elles affectionnent pour leur hibernation, mais exclusivement sur des zones humides d’un biotope naturel appartenant aux mêmes milieux.
Des recherches intensives, ont montré, que la plus part des vespertilionidae et rhinolophidae se servent d’un régulateur de température, de roches appelées (sédimentaire), qui est une roche calcaire qui résulte des accumulations et du compactage de débris d’origine minérale, qu’elle absorbera dans l’unique but de conserver à l’individu un état physique, recouvert de condensation sur son pelage, qui mettra en avant la thermorégulation constante du métabolisme et du système léthargique des chauves-souris génétiquement homéothermes.
Roche sédimentaire. |
La génétique de l’homéothermie, peu aussi bien gérer la constance du métabolisme par une température restante toujours au même degré, mais peu aussi bien favoriser les probabilités de dérangement des températures corporel redescendant en dessous des conditions habituelles, si des ressources de chaleurs de quantités lumineuses s’y installent peut provoquer en l’espace de 30 secondes un réveil et une élévation du métabolisme provoquant chez l’animal sont envol et une perte d’énergie importante, voir sa mort.
Des recherches de terrain mon permis de mettre en œuvre un futur ressort sur le système du développement et l’utilisation de lampe type U.V, pour les comptages hivernaux, afin de ne pas aggraver les possibilités de dérangements de colonie pendant les périodes hivernales, et permettra de mieux apprécier l’identification à des fins plus longues sans provoquer chez l’individu un réveil par la chaleur.