Valérie Karam
À propos
Après une licence en Langues Étrangères Appliquées (Anglais-Espagnol) dans une université française où ma matière préférée était… la traduction, j’ai eu la chance de pouvoir voyager dans les deux pays (Angleterre et Espagne), puis plus tard aux États-Unis. J’ai aussi travaillé pour une société informatique américaine où une part de mon travail consistait en rédaction technique et traduction. Dans une équipe 100 % British, j’étais en immersion linguistique totale et continuais à parler anglais… dans mon sommeil. Après avoir quitté ce job pour élever mes enfants, je suis toujours restée en contact avec la langue (et les gens !). Quand j’ai voulu reprendre le travail il y quelques années, j’ai pensé : « qu’est-ce que j’aime vraiment faire ? » Et la réponse est venue, évidente : traduire. Je suis donc revenue à mes premières amours et je travaille maintenant comme traductrice indépendante. J’apprécie beaucoup de travailler dans le domaine de l’environnement, c’est ma (modeste) contribution à la protection de la nature qui, je pense, est la responsabilité de tous. Mongabay m’a permis d’apprendre beaucoup sur la faune, les océans, les forêts tropicales et d’autres choses encore. Je travaille également avec 350.org, une ONG qui a pour but de construire un mouvement de masse pour remédier à la crise du réchauffement climatique. Pendant mon temps libre, je participe à « Traducteurs Sans Frontières » en traduisant par exemple des documents pour les personnels soignants en Afrique (pendant la crise d’Ebola) ou bien des textes concernant des outils informatiques utilisés par Médecins Sans Frontières. Qui aurait cru que la traduction pouvait sauver des vies ? Et si vous pensez toujours que les traducteurs ne peuvent pas changer le monde, regardez donc ici et voyez comment la mauvaise traduction d’un terme japonais a mené au bombardement d’Hiroshima en 1945. Le traducteur a une énorme responsabilité : non seulement traduire les mots d’une langue à l’autre, mais communiquer l’idée qui se trouve derrière les mots, ce qui parfois demande quasiment des talents de médium, ou tout au moins des qualités psychologiques certaines ! Bien évidemment je suis un vrai rat de bibliothèque et je l’ai toujours été, lisant souvent deux ou trois livres à la fois, en anglais ou en français. Toujours en recherche de nouvelles opportunités dans le domaine de l’environnement, je suis très intéressée par de nouvelles missions pour d’autres organisations en vue de la Conférence de Paris sur le climat fin 2015, et au-delà. Si vous cherchez une traductrice en français, vous pouvez me contacter à karamvalerie(arobase)gmail(point)com.