En 2017, un groupe de chercheurs du Royaume-Uni et de la République du Congo a révélé la présence d’une tourbière immense, d’une superficie équivalente à un quart du territoire métropolitain français, dans le bassin du Congo.
Souvent appelée le Bassin Central, cette tourbière s’étend sur 145 529 km2 entre le nord de la République du Congo et la République démocratique du Congo, et rejette 20 fois plus de carbone chaque année grâce à la combustion des ressources fossiles des États-Unis.
De nos jours, les tourbières du bassin du Congo sont relativement préservées et hébergent des communautés humaines ainsi qu’une biodiversité très diversifiée. Cependant, ils pourraient être menacés par leur potentiel pour l’agriculture ou le pétrole, le gaz et la foresterie.
C’est ce qui a encouragé les chercheurs, les défenseurs de la nature et les gouvernements à chercher des moyens de protéger et d’approfondir la compréhension des tourbières, pour le bien des individus et des animaux qui y vivent, et pour l’avenir du climat mondial.
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