La glace maritime densément accumulée dans l’Arctique d’une image prise en 1949. Il viendra un jour où la glace maritime arctique dense et stable appartiendra probablement au passé à mesure que l’Arctique se réchauffe huit fois plus que le reste du monde selon une nouvelle analyse: L’image tirée par: Rear Admiral Harley D. Nygren.
L’Arctique est le seul endroit de la planète qui se réchauffe rapidement. La rapidité de ce réchauffement reste, toutefois, problématique à cause des écarts élargissants des données sur la température à travers la région très vaste.
A nos jours, une étude récente à “Quarterly Journal of the Royal Meteorological Society” a conclu que non seulement l’Arctique se réchauffe huit fois plus rapide que le reste de la terre, mais le fait que les chercheurs n’arrivent pas à combler les écarts de la température amène à ce que l’augmentation de la température mondiale soit sous-estimée par les données globales.
Quelques chercheurs ont signalé que la rapidité du réchauffement terrestre semble avoir reculé –au même temps que plusieurs opposants du changement climatique et des groupes media ont erronément réclamé qu’il s’est arrêté à la foi. Toutefois, le fait que les satellites ont ajouté de nouvelles données sur la rapidité du réchauffement de l’Arctique amènent les scientifiques à signaler dans un rapport que le climat terrestre se réchauffe rapidement comme prévu. Cependant, l’Arctique seul subit le coup d’un tel réchauffement.
La glace maritime arctique qui se fond en 2000. Les endroits en bleu léger représentent les bassins sur la glace maritime, les endroits en bleu marin noir sont de l’eau ouverte. L’ampleur et le volume à la foi de La glace maritime Arctique reculent au cours des années récentes. L’image tirée par: NASA.
L’auteur Kevin Cowran avec l’université York dit qu’il est facile de voir que l’abondement des températures arctiques a fait que les conclusions sur les températures terrestres sont loin d’être exactes. “Si on compte sur la moyenne et on néglige une partie des données qui se comporte différemment de la population en générale, on risque d’avoir une conclusion incorrecte.” a-t-il informé mongabay.com.
Un exemple de ce genre est l’estimation de la taille des gens en moyenne en comptant sur le modèle d’une équipe de femmes seules. On aboutira à un résultat sous-estimé car les hommes sont en moyenne plus longs. De la même manière, si on prend une moyenne du taux du réchauffement terrestre en se basant seulement sur les zones qui se réchauffent lentement, le taux du réchauffement terrestre sera donc sous-estimée.
Cela est exactement ce qui s’est produit à l’ensemble de données parvenant de ” Hadley Center and Climatic Research Unit” ou bien “CRU”. Cet ensemble de données couvre 84 pourcent de la planète, mais il néglige une majorité de l’Arctique. Les conclusions parvenant de “NOAA s National Climatic Data Center” (NCDC) souffrent du même problème. L’ensemble des informations de la NASA GISS, au contraire, a pris en considération le réchauffement dans la zone arctique en comblant les écarts avec les stations climatiques des alentours. Cependant, même leurs résultats sous-estiment encore les conclusions totales compilées par Cowtan et son partenaire Robert Way avec l’université d’Ottawa.
Au cours de leur nouvelle recherche, Cowtan et Way envisagent deux solutions possibles aux décalages des données de l’Arctique.
Le changement climatique a risqué la vie de plusieurs espèces arctiques, inclus walrus qui compte sur la glace maritime dansée pour reproduire. La photo prise par: USFWS/Joel Garlich-Miller.
“La première est de simplement deviner à partir des stations climatiques les plus proches en se basant sur les données CRU. La NASA a fait des efforts pareils depuis longtemps, mais CRU a fait le possible d’établir autant de stations de latitude haute.” dit-il Cowtan. La seconde est plus nouvelle: Les deux scientifiques avaient recours aux capteurs hyperfréquences.
Les chercheurs ont donc utilisé la méthode statistique connue par les scientifiques comme “Kriging” pour reconstruire les températures au niveau de la surface selon les informations parvenant des satellites.
Les satellites ont surveillé l’Arctique depuis seulement 1979. Cela signifie qu’ils sont capables de combler les écarts débutant de cette période seule. Cependant, les découvertes par les scientifiques sont surprenantes: Les conclusions ont prouvé que pendant les 15 années précédentes, les taux de réchauffement à l’Arctique ont connu une croissance accélérée et la région se réchauffe actuellement d’un taux étant huit fois plus rapide que celui du reste du monde entier. En plus, lorsqu’on ajoute cette croissance du réchauffement dans la région au taux global, le ralentement prétendu du changement climatique disparait.
Les données HadCRUT, par exemple, démontre que le climat se réchauffe d’un taux de 0,05 Celsius pendant les quinze années précédentes, mais en ajoutant les informations nouvelles sur l’Arctique, on aboutira à un taux dépassant le double et atteignant 0.12 Celsius. Cowtan a renseigné mongabay.com que malgré le fait que le changement n’a pas beaucoup agit sur la situation climatique générale a longs termes—ce qui constitue un concerne pour les spécialistes du climat– il prouve tout de même que le réchauffement terrestre s’accroit sans cesse.
L’iceberg Mendenhall en 2007, L’iceberg recule à environ deux miles depuis les années 1950 à cause du réchauffement terrestre qui a créé un lac sur la base de l’iceberg. La disparition des glaciers entraine l’augmentation du niveau de la mer et d’autres problèmes aquatiques. La photo prise par: Rhett A. Butler.
Cowan signale que les conclusions atteintes par la science reflètent les actions habituelles de celle-ci, et que tout ce qu’on a fait vraiment est d’éclaircir l’obscurité qui entoure les tendances provisoires qui rendent la science plus vague. Cowan ajoute que les spécialistes ont souvent fait preuve de prudence lorsqu’il s’agit de tirer des conclusions selon ces tendances provisoires qui figurent considérablement sur le discours public.
En fait, le discours public et plusieurs opposants du changement climatique ont été parfois obsédés au cours de l’an dernier par l’interruption du changement climatique que la publicité est souvent en train de promouvoir. Même l’équipe intergouvernementale la plus récente spécialisée en changement climatique (IPCC) a souligné le ralentement au niveau du taux du changement climatique actuel par rapport à celui du passé. Ce ralentement parvient des données mal basées.
“HadCRUT et NCDC doivent résoudre ce problème. Pour se faire, d’une façon idéale, ils doivent recourir à des approches différentes – l’image sera plus claire si les méthodes de résolution à ce problème sont plus diversifiées,” disait Cowtan qui signale que les données de NASA sont les plus proches que leurs découvertes, malgré cela, ces données continuent encore à sous-estimer un peu le réchauffement et les chercheurs ignorent la raison de ce fait.
Le réchauffement accéléré à l’Arctique a déjà provoqué innombrables dégâts à l’écosystème. Ce qui donne l’alarme aux spécialistes est qu’en 2012, l’ampleur de la glace maritime de l’Arctique a baissé 50 pourcent au-dessous des moyennes enregistrées en 1979 -2000 et par cela il atteint le point le plus faible au cours de l’histoire. L’Arctique a donc perdu une somme totale de 40 pourcent de sa glace maritime depuis 1980. Les chercheurs ont prévu que l’océan Arctique sera dépourvu de sa glace quelque parts entre 2020 et 2100. Quelques scientifiques ont récemment théorisé que le fait que l’Arctique perd sa glace maritime peut être derrière les tendances météorologiques extrêmes tel que le courant-jet océanique et le froid inhabituel comme le vortex polaire que les Etats Unis a survécu récemment
Le volume de l’océan Arctique de la glace (pas de mesure) de 1979 à printemps 2013 Remarque: le graphique ne montre pas cette année de faible.
L’image satellite de l’Arctique: La photo prise par: NASA.
Citations:
- Kevin Cowtanand Robert G. Way. (2013) Coverage bias in the HadCRUT4 temperature series and its
impact on recent temperature trends. Quarterly Journal of the Royal Meteorological Society. doi:10.1002/qj.2297